Cocu …Volontaire 12 Plus Cocu Que Candauliste? Querelle D'Époux




7 heures 30, je pars au travail. Émilie dort. La soirée mouvementée se paie.

13 heures, dans la maison rien ne bouge. A la cuisine personne, ni pot ni casserole sur la plaque de cuisson, aucune préparation dans le réfrigérateur. Dans la chambre ma femme dort, couchée sur le flanc, fesses tournées vers l’entrée. Mais… qu’est-ce que c’est ? Un cercle rose cache l’anus trop large pour y disparaître. Je me penche pour mieux voir. Je touche légèrement, l’objet bouge à peine, il est bien greffé entre les fesses plus claires, c’est un jouet sexuel anal. C’est une indication sur les intentions de ma femme: elle souhaite inaugurer avec René le passage qui m’était interdit. C’est injuste, que ne l’ai-je défloré plus tôt. D’où sort-il ce truc enfoui dans l’anus ? …Et là, dans la main posée sur l’oreiller, juste contre une joue, couvert en partie par une mèche de cheveux, je distingue un autre objet en forme de verge celui-là, plus facilement identifiable, dont la pile agonise. Les vibrations vont s’arrêter après un long usage.


René n’a pas suffit à calmer la fureur vaginale de ma femme. Un réflexe a arraché le jouet de la crevasse meurtrie par le sexe trop gros de mon suppléant. En réalité il y avait aussi le feu à l’arrière! Reste à savoir d’où proviennent ces trucs jamais vus sinon dans des publicités. Émilie les cachait ? Elle les utilise depuis quand,…souvent ? Ces substituts me remplacent et expliqueraient le fiasco de nos relations sexuelles en dernier ? Expliqueraient ce sommeil lourd dans lequel je laisse l’épouse endormie, si elle en fait un usage intempestif ?

17 heures 30, je suis de retour. Émilie, cette fois réveillée, en robe de chambre,avec des valises sous les yeux, un tantinet gênée veut savoir :


- C’est toi qui as réchauffé une boîte de cassoulet ce midi ?


- ment, à moins qu’une autre personne puisse entrer? Tu dormais si bien que je n’ai pas voulu te réveiller.




- Tu aurais dû. Excuse-moi de ne pas avoir préparé ton petit déjeuner et ton repas de midi. J’étais crevée.


Que de sollicitude, des regrets parce qu’elle n’a pas préparé ou servi les repas. Pas de regrets par contre pour le service non rendu, je pense au rapport sexuel accordé à un autre et omis pour l’époux. Devrai-je bientôt m’acheter un ou des jouets pour homme.
Heureusement René est de passage seulement et sa remarquable efficacité permettra de limiter le nombre de ses interventions sur le corps d’Émilie. Elle en est persuadée :


- Heureusement cette folle soirée portera ses fruits, quelques séances supplémentaires suffiront.

Quelques ? Ça fait combien ? Je prévoyais deux ou trois. Quelques est un adjectif indéfini… c’est deux au minimum, sans limitation maximale. Je préfère couper court avant d’avoir à accorder un usage abusif qui tournerait à l’addiction. Ces deux là se plaisent, ils pourraient souhaiter faire durer la cure.


- N’en parlons plus. Je me suis débrouillé tout seul, comme un grand : je commence mon entraînement de futur célibataire.


- Oh ! Non, ne recommence pas avec ton idée de divorce. Je t’aime tant et depuis si longtemps et si fort. Tu es venu dans la chambre ?


Cette question doit être la principale, noyée dans les autres. Visiblement elle intrigue l’intéressée. Je sais à quoi elle pense, je ne suis pas de la dernière pluie. Je la fais mijoter, je dois répondre :


- Naturellement je m’inquiétais de ne pas te trouver à la cuisine : tu y es d’habitude à l’heure des repas.


- Ah ! Je t’ai manqué, tu n’es pas encore mûr pour le célibat. Je suis indispensable: qui tiendrait la maison, cuirait tes aliments, laverait et repasserait le linge ?


- On pourrait prendre une bonne. Combien de fois l’ai-je proposé. Et toi tu mettrais en valeur tes diplômes dans un travail plus noble. Évidemment la bonne fait le lit, mais n’y remplace pas la maîtresse de maison.



- Tu aurais un fantasme, la bonne et toi ? Ho Jean ! Quand tu es venu dans la chambre pendant mon sommeil, tu as vu…


- Qu’aurais-je dû voir ?


- Bien sûr, tu as vu. Mais ce n’est pas ce que tu crois. Attends, il faut que je t’explique.


- Est-ce bien utile. Quand René n’est pas là pour ton plaisir, tu me remplaces comme tu peux, et tu me prouves que toi, tu peux vivre sans moi. Je ne suis pas la seule chose que tu aimes si fort. Peux-tu me dire si cela dure depuis aussi longtemps que moi ? Tu en avais avant notre mariage ?


« La chose, cela, en» : personne ne veut donner un nom à ces objets, nous tournons autour du pot ! A Émilie d’être claire :


- C’est-ce que je pensais : tu te fais des idées. Non, voilà : ce matin Angèle est passée et m’a fourni une collection de vibromasseurs et trois « plugs » de dimensions différentes. Elle m’a conseillé de les essayer. Elle a choisi le plus petit, l’a enduit de gel lubrifiant et m’a aidée à le faire pénétrer dans mon cul grâce à ton lubrifiant. Ça n’a pas été facile, c’était la première fois. Il n’est pas facile de marcher avec ça dans le cul. Question d’habitude m’a-t-elle dit.


- Dans ton cul… ? Ah, oui; qu’y a-t-il de plus normal…Angèle t’a aidée…Elle t’a vissé un jouet dans le cul ? Elle est bien bonne, ton amie. Reviendra-t-elle chaque jour pour t’aider à prendre l’habitude de vivre avec un machin rose là?Ça tient tout seul dans le cul?


- Non, j’apprendrai à me le mettre toute seule.


Était-elle accompagnée ? Non ; ah ! Évidemment c’est pour t’ouvrir le cul de manière que, bien élargie, tu puisses accueillir dans tes arrières la massue de son amant sans trop de souffrance. Je parie que ça t’a mis le feu où je pense. Sache à l’avenir que la chaleur résulte non du gourdin de ton amant mais du gel Hélo: on en apprend tous les jours, même à ton âge, même après des années de conduite respectable.



- Je te dirai si son engin diffuse ou non de la chaleur sans ton gel. D’abord René n’est pas mon amant, c’est un ami qui me soigne.


- Ce n’est pas ton amant , puis-je te croire ? Pourquoi, tu lui préfères les jouets de ta copine ? Mais celui que tu tenais en main encore vibrant faiblement que faisait-il sur l’oreiller? Est-ce un moulage de l’objet de ta vénération que tu regardes pour trouver le sommeil?


- Dans mon sommeil, j’ai dû le retirer de mon sexe. C’était trop tôt après « ce que tu sais ». J’ai ressenti des picotements gênants, je l’ai extrait sans m’en rendre compte, d’où sa place devant ma figure Mais tu as raison, il a une forme et un volume fort proches de l’original que tu as découvert en action hier soir.


- Peut-être l‘as-tu pris en bouche sans t‘en rendre compte en dormant comme le modèle que tu as si longuement sucé et pompé hier ? Tu as revécu tes meilleurs souvenirs ?


-Je ne sais pas, je dormais.


« Ce que je sais » Tu as plus de pudeur en paroles qu’en action ou je me trompe ? J’ai une autre question. C’est que pendant mon travail ,‘ai gambergé : Aurais-tu de la même façon, ne serait-ce qu’essayé ma verge au lieu de ce simulacre évocateur ?


- En dormant ? Ce serait possible ? Nous n’avons jamais essayé, comment le saurais-je ?


-Angèle a fait faire cette copie pour elle ou pour toi ou pour vous deux ? A deux vous amortirez plus vite le coût de la reproduction. Vous faites « Un coup pour toi, un coup pour moi ! »? L’une s’amusera avec René et l’autre avec sa copie. Je pourrais échapper à Angèle.


- C’est pas drôle. Hélas Angèle veut vous échanger, tu devras lui faire l’amour. Tu as peur de la panne ?


- La panne ? Qui est en panne ici ? Qui doit se faire baiser par une énorme bite pour réussir à jouir. Qui se bourre avec des trucs dans le cul ou dans le sexe ? Angèle a évoqué un problème psychologique.
Si elle croit le résoudre avec sa collection artificielle de vibrateurs et autres imitations, elle se goure.


J’ai honte. Je croyais me réveiller plus tôt.


- Ne m’explique pas pourquoi, ça fait partie de « ce que je sais»désormais sur tes habitudes.


- C’est faux, jamais avant…


- Alors tu n’as pas pu décommander monsieur « superbite » et persuader l’autre excitée du con de renoncer à me séduire ?


- Angèle m’a conseillé de réfléchir avant de tout gâcher. Elle ne peut pas jurer que René acceptera de recommencer si nous repoussons le rendez-vous fixé. La commande passée devra être honorée. Quand un client te passe une commande, c’est pareil, tu exiges qu’il tienne son engagement.


- Tant pis, mais réfléchis bien et vite. Quand tu seras fatiguée de tes jouets comme tu t’es fatiguée, quand tu étais gamine, de ta dînette et de tes poupées , fais-moi signe. Peut-être accepterai-je de recommencer la vie conjugale que tu repousses à la fin de ton traitement. N’oublie pas, dans deux mois moins un jour, nous devrons décider si nous sommes redevenus mari et femme ou s’il vaut mieux nous séparer.


- Jamais je ne te quitterai, je t’aime. Ne me fais pas cet horrible chantage.


- Ça aussi je le sais, « tu m’aimes tant et depuis si longtemps et si fort ». La réciproque n’est plus assurée. J’ai le droit de faire comme René, mon petit chantage. Imagine que ta chère amie, assez intime pour pouvoir te planter un jouet dans le cul, m’aime vraiment d‘un amour inassouvi depuis des lustres, pas seulement en paroles mais sentimentalement et charnellement. Imagine qu’elle me charme et devienne indispensable à mon épanouissement sexuel et imagine les conséquences d’un attachement à cette nouvelle partenaire. Imagine que je me mette à l’aimer et qu’elle m’aime en retour . Imagine qu’elle aime m’enculer avec des légumes ou des trucs artificiels et que j’aime ça comme toi. Quelles raisons pourraient me retenir près de toi ? La bigamie de toute façon est interdite sur notre territoire, que faire sinon divorcer si les bons soins de René doivent durer des mois ou des années?


- Tu n’es pas sympathique, ce n’est pas bien de te moquer de moi, de tourner en dérision ce que je pense et redis. Voilà trop de choses à imaginer. Je sais que tu m’aimeras toujours : tu l’as juré et tu respectes tes serments.


- Ça, c’était avant René. Mais maintenant je vous ai vus unis comme des connaissances, toi débordante d’attention, à la limite de la soumission, lui dominateur, arrogant, si sûr de sa supériorité et plus aimé qu’un mari. On aurait pu croire que vous étiez le couple de la maison depuis longtemps, un couple tellement amoureux encore. Le seul défaut c’était la nécessité d’aider son magnifique membre à franchir la porte.


- Tu l’as remarqué ? Avec le temps ça passera.


- J’ai par ailleurs observé qu’il était trop long puisque une partie importante de sa tige demeure à l’air, parfaitement inutile sauf à t’éblouir. Pourquoi ne t’assieds-tu pas?


- Pas envie. Je reste debout, si j’en ai envie; je suis restée longtemps couchée aujourd’hui. Je suis bien debout, voilà. L’explication te convient-elle ?


- Plus ou moins. J’aimerais m’en satisfaire, me faire une opinion, aide-moi, ce doit être facile si tu m’aimes. Approche, tourne-toi. Laisse-moi relever ta robe…si, j’insiste, cela fait partie des prérogatives d’un mari qu’on prétend aimer… Je voyais juste ! On est mieux debout qu’assis avec ce truc dans le cul. Tu attends qu’Angèle vienne le retirer ? Tu trimballes ça dans le fion depuis ce matin ?


- Non ce midi c’était plus le petit, celui -ci c’est le moyen. Angèle est venue le changer cet après-midi. Je compte sur toi pour m’enfoncer le plus gros demain matin. Si tu ne veux pas m’aider, je lui téléphonerai.


- Elle a la clé de la maison et s’empressera d’agrandir le diamètre de ton anus. Quelle noble ambition. As-tu prévu une limite ?


- Tout le monde le fait, tu voudrais me l’interdire ?


- Tout le monde ne m’a pas épousé. Mais à l’heure actuelle, tout le monde divorce, continue à imiter « tout le monde » et tu finiras comme tout le monde. Finalement annonce-moi ce que tu prévois pour demain.


- Rien de nouveau. Tu sais depuis hier tout ce que tu dois savoir.



En pleine nuit une main joue avec mon petit sexe « moyen » selon les statistiques, normal selon Angèle la connaisseuse, moins bien que celui de René selon ma femme. A-t-elle du mal à trouver le sommeil après notre discussion ? Elle s’occupe comme elle peut. Veut-elle me réveiller et faire des concessions. Va-t-elle généreusement renoncer aux vibrateurs vaginaux dont j‘ai du mal à comprendre l‘intérêt après les passes avec René ? La solution a dérapé depuis la découverte des imitations. Je ne vois pas beaucoup de possibilités de compromis. Ou elle reçoit René ou elle se refuse à lui. Elle parle enfin :

- Jean, je ne supporte pas l’idée du divorce. Je supporte encore moins l’idée de te voir tomber dans le piège d’Angèle. Ne veux-tu pas me faire l’amour, maintenant, je crois que je suis disposée à jouir si tu repousses les avances insensées de mon amie.


- Émilie deviendrait-elle jalouse parce qu’elle s’est mise à imaginer ? Craint-elle tout à coup de me perdre, pèse-t-elle la possibilité d’un divorce avec ses conséquences sur sa vie tranquille ? Se méfie-t-elle de l’amie ?


- Angèle ne peut pas être sincère, je la connais. Si elle avait été amoureuse de toi, je le saurais depuis toujours. Elle a une lubie, comme souvent. Au final elle se moquera de la petite taille de ta queue, te ridiculisera. Elle aime flirter, elle adore être désirée, recevoir des déclarations d’amour, compter ses soupirants et les humilier


- N’as-tu pas été la première à te moquer de la taille de ce que tu tiens en main ? Ton envie d’un sexe d’homme plus long et plus gros n’est-elle pas humiliante pour moi ? Qu’ai-je encore à perdre ? Comment pourrais-je t’aimer te posséder en frottant ma verge contre ce gros plug qui me rappellerait constamment que tu souhaites te faire enculer par René et sans lubrifiant, à sec comme tu dis courageusement.


- Jean, viens, aime-moi, ne pense pas à demain. J’ai envie de toi.


- Tu connais la solution. Tu dégages de ton anus cet objet qui a déjà servi dans combien d‘autres culs plus ou moins propres. Tu téléphones à Angèle, tu lui annonces que tu arrêtes l’expérimentation, que tu lui rends son matériel , que tout est fini, que…


- Tu as vu l’heure, je ne peux pas lui téléphoner, elle dort.


- Tant pis. Tout dépend de toi, je commence à en avoir par-dessus la tête de ces raisons qui n’en sont pas. Angèle dort ? Moi aussi je dormais et j’ai besoin de dormir. Quant à te faire l’amour à l’heure qu’il est, est-ce bien raisonnable ? Je veux être à la hauteur de la tâche pour laquelle tu m’as vendu. Angèle m’a réclamé, je ne me couvrirai pas de honte, je serai vaillant, ardent courageux, vigoureux et je l’étonnerai en lui remplissant « la poche » , c’est son mot, des réserves de spermes accumulées depuis le début de ta grève. Donc il n’est pas question de jeter maintenant ma poudre aux oiseaux. Fais comme ta copine, dors.


- Si tu m’aimais, tu cesserais tes questions et tu me serrerais dans tes bras


- Alors que tu es peut-être enceinte des œuvres de celui qui te baise mais n’est pas ton amant, de grâce trouve d’autres arguments.


- Je ne réussis pas à m’endormir. Je ne peux pas être enceinte, j’ai un stérilet.


- Un stérilet, toi ? Première nouvelle, depuis quand ? N’aurais-je pas dû être informé en premier ? Tu peux te mordre les lèvres d’avoir involontairement instruit le mari bien aimé de cet événement. Normalement dans un couple uni, la décision se prend à deux. Tu oses encore prétendre que tu m’aimes. Tu me tiens pour un imbécile. Je… Prends un somnifère ou mieux, utilise un gros vibromasseur, il te fera penser à René. Fais de beaux rêves


- Tu es amoureux d’elle, avoue. Elle aussi a un stérilet, match nul.


- Il n’y a pas de match. Le match se joue entre toi et moi. Tu n’as pas répondu à ma question: Depuis quand as-tu fait poser cette protection ? Qui sait si je ne vais pas rendre son amour à Angèle. Entre nous ça ne fonctionne plus. Peut-être Angèle sera-t-elle plus réceptive à des rapports sexuels normaux Tu n’as pas répondu à ma question: Depuis quand as-tu fait poser cette protection ?


- Environ six mois.


- A trente cinq ans. Pas avant, comme ça, à trente cinq ans ? Est-il possible de savoir pourquoi ? Tu te trouvais trop vieille pour avoir un ? Tu ne voulais pas d’ de moi ? Tu prévoyais d’imiter la vie dissolue de ta copine ? Ce doit être par amour de moi ?


- Mais cela peut se retirer.


- Moque-toi, ma femme se fait installer un stérilet pour pouvoir le retirer ! Avec une histoire pareille, précipite-toi dans une émission d’Évelyne Thomas. MDR ! Cela fait un deuxième motif de divorce. On verra. Dors.



























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